La big pop anguleuse et grandiloquente d’Anglais ambitieux. Critique et écoute.
Sufjan Stevens et XTC cités dans le texte, l’influence morale de Steve Reich placée sous le soleil de Vampire Weekend. L’innocence et le vice dans une même humeur, le désir cérébral de plonger, sur canapé et Morphée à portée de bras, dans ces dédales infinis, mis en concurrence directe avec l’envie de célébrer Out of Touch, in the Wild dans une foule furieuse, par cent danses folles et dans l’oubli de soi. L’album, d’une densité de big bang, en appelle à tous les sens et, en pleine civilisation savante ou dans la sauvagerie de ses idées instinctives, brouille les pistes et la logique. Mais jamais la joie.
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