Faisant suite aux passionnants albums de Domotic et O.lamm parus au printemps, Karaoké a cappella, mis en boîte par un Hypo glouton de bleeps obliques et de clics à claques, donne un nouveau gage de la vitalité de l’electronica hexagonale et de la parfaite adéquation du label parisien Active Suspension avec cette jeune (avant-)garde effervescente […]
Faisant suite aux passionnants albums de Domotic et O.lamm parus au printemps, Karaoké a cappella, mis en boîte par un Hypo glouton de bleeps obliques et de clics à claques, donne un nouveau gage de la vitalité de l’electronica hexagonale et de la parfaite adéquation du label parisien Active Suspension avec cette jeune (avant-)garde effervescente et impétueuse.
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Le titre de ce deuxième album d’Hypo, où une foultitude de sons divers et (a)variés culbutent gaiement en un pétaradant tumulte, n’est peut-être pas si ironique qu’on peut tout d’abord le penser : les dix-huit miniatures ludico-dépressives ? dont au moins un tube, le bien nommé (?) RFM ? composant Karaoké a cappella s’avèrent en effet accrocheuses au point de venir poursuivre, jusque sous nos douches, nos glottes et nos neurones. Et c’est ainsi qu’Hypo est beau.
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