Malgré de jolies promesses, les illuminés américains déçoivent en bâclant. Critique et écoute.
A la fin de l’hiver dernier, Reptilians imposait Starfucker comme un joli lot de consolation pour les déçus du pompeux et autoparodique deuxième album de MGMT. Cette réédition augmentée du premier ep du trio dance-pop de Portland gâche un peu la fête.
Instrumental, à une reprise irrésistiblement camp du Girls Just Wanna Have Fun de Cyndi Lauper et deux hymnes dignes d’un Of Montreal sous perf de glucose près (Medicine, Boy Toy), Jupiter ressemble plus à une banque de sons qu’autre chose.