Après “Marzipan” sorti en mars, le chanteur, compositeur et producteur acclamé Jonathan Wilson dévoile “Charlie Parker” en amont de la sortie de son nouvel album “Eat The Worm”, prévu pour le 8 septembre 2023.
Lorsqu’il n’est pas en tournée avec Roger Waters, Jonathan Wilson produit des albums pour Father John Misty, Margo Price, Billy Strings, Conor Oberst, Roy Harper, Dawes et Angel Olsen, pour ne citer qu’eux. L’artiste originaire de Caroline du Nord, relocalisé à Los Angeles depuis 15 ans, est pourtant parvenu à trouver le temps de faire naître de nouveaux morceaux ces deux dernières années.
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“Une grande partie de ce lot de chansons est une réaction au travail de production que je fais, révèle le musicien américain. Je suis en studio, je passe de longues journées avec des gens, j’ai des idées farfelues et ils me disent ‘non, non, non, ça a l’air fou, JW’, alors je les mets de côté pour mon album. Je suis enfin arrivé à un stade où je me sens totalement libre de prendre des risques et de résister à l’envie d’édulcorer les choses. Il faut que ce soit un peu étrange.”
Une envolée fantaisiste et fictive
Dans l’enceinte de son studio californien Fivestar à Topanga Canyon, Jonathan Wilson a pu consacrer tout le temps nécessaire à la confection de ses morceaux, lui qui produit et joue presque tous les instruments. C’est notamment le cas sur son nouveau single intitulé Charlie Parker. “Charlie Parker est l’une de mes chansons préférées sur Eat The Worm. C’est une envolée fantaisiste et fictive”, décrit Jonathan.
On retrouve le multi-instrumentiste à la guitare, au piano, à la batterie et aux claviers, tandis que Jake Blanton (The Killers) s’occupe de la basse et que les sections de cordes et de cuivres sont confiées aux musiciens de renom C.J. Camerieri (Bon Iver), Rita Andrade (Kanye West), Wynton Grant (Miley Cyrus, Hans Zimmer) et Paul Cartwright (Lana Del Rey, Mary J. Blige).
Accompagné d’une vidéo aux allures de long trip hallucinatoire réalisée par son épouse, l’artiste Andrea Nakhla, à l’aide d’une technologie d’intelligence artificielle à diffusion stable, Charlie Parker est le reflet des hauts et des bas de la vie de musicien, contenant de subtils éléments de be-bop, d’où la référence au célèbre jazzman. Jonathan Wilson qualifie ce titre planant de “reflet de ce nouvel album : l’aventure, la fidélité et le plaisir”.
Eat The Worm est prévu pour le 8 septembre chez BMG.
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