La diva rhythm’n’blues déçoit : elle fait du cinéma, et pas qu’à l’écran. Critique.
Le 5e morceau du 5e album de la diva rhythm’n’blues (et désormais actrice) Jill Scott s’appelle Le BOOM Vent Suite. On ne sait pas ce que c’est, mais c’est très chic et ça ressemble au nom d’un bar VIP perché au sommet d’un hôtel de luxe. C’est là qu’on écoutera The Light of the Sun, disque de néo-soul haute couture, élégant écrin pour l’une des voix les plus sexy d’Amérique.
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Entre Philly Sound effilé et soul sophistiquée façon Motown, Jill Scott baigne dans le luxe et la tradition. Sur la longueur de l’album, c’en est même étouffant de bon goût toujours prévisible. L’album s’appelle The Light of the Sun, mais la musique est un peu trop artificielle et tamisée.
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