Certaines mauvaises fois blâment le tycoon US du rap pour la baisse de pré-réservations pour le plus boueux des festivals.
S’il n’y a aucune inquiétude à se faire pour le gargantuesque Glastonbury, les places restant parmi les plus compliquées à obtenir en Europe, ses organisateurs ont dénoté cette année une baisse très sensible des pré-réservations. Ce que quelques mauvaises langues ont mis sur le dos de Jay-Z, tête d’affiche de l’un des soirs de l’événement, qu’ils considèrent probablement comme incompatible avec un line-up blanc-bec et très majoritairement rock.
Faux, rétorquent Michael et Emily Eavis, organisateurs du raout : la baisse serait plutôt due au très mauvais temps et aux tsunamis boueux des dernières éditions, qui auraient fini par lasser les festivaliers.