Si Jack White a pris le temps, ces derniers jours, de répondre longuement et personnellement à la désormais fameuse affaire du guacamolgate, l’Américain soigne également la promotion de son Lazaretto. Après l’invention assez excitante de l’ultravinyle pour son album solo, un outil pour transformer les vidéos de ses concerts en expérience de réalité virtuelle, l’ex-White […]
Si Jack White a pris le temps, ces derniers jours, de répondre longuement et personnellement à la désormais fameuse affaire du guacamolgate, l’Américain soigne également la promotion de son Lazaretto. Après l’invention assez excitante de l’ultravinyle pour son album solo, un outil pour transformer les vidéos de ses concerts en expérience de réalité virtuelle, l’ex-White Stripes expérimente désormais avec les clips.
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Celui de « That Black Bat Licorice », à voir sur son site ou ici-même, est ainsi triple et (vaguement) interactif : selon son action sur son clavier (touches B et 3), son visionneur-auditeur a ainsi le choix entre une version animée réalisée par James Blagden, une version « headbang » réalisée par Brad Holland et une version plus « normale » que White a lui-même prise en charge. Le morceau, quant à lui, reste le même : mordant, malin et vicieux comme un serpent électrique.
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