L’ex-chanteuse de Rodeo Massacre dans un trip cosmique. Critique et écoute.
Suédoise exilée à Paris, Izzy Lindqwister a dévoilé sa voix flamboyante au sein de Rodeo Massacre, quatuor spécialiste des hymnes pop-garage qui bifurqua vers le psychédélique avant de se dissoudre – une déception immense tant leur charisme bouillonnant et leurs mélodies fulminantes leur promettaient un avenir radieux.
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Après une collaboration chez Cornershop et un ep en solo, on retrouve cette descendante de Grace Slick et Debbie Harry en plein voyage dans l’espace. Son timbre solaire papillonne sans savoir où se poser entre disco pailleté et pop futuriste, entre soul vintage et glam rutilant. Cette indécision est la grande frustration de cet album inventif et hallucinatoire qui a tendance, dans ce collage surréaliste, à perdre le fil de sa pensée.
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