Synth-pop fraîche et sautillante.
Le nom est assez plouc, il pourrait servir de blaze à un faux-diner américain sur parking de centre commercial régional, avec ses carreaux de faïence à damier, ses chromes fatigués et ses affiches de James Dean maculées du gras de dix ans de frites. Mais non, Indiana est toute fraîche et sautillante, anglaise pur jus, comme ses influences qui semblent toutes remonter – le syndrome Little Boots – à avant sa naissance. Soit la synth-pop de Depeche Mode transformée en BO pour slow gothique et théâtral. La preuve : il y a des corbeaux dans sa vidéo.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}