Ecrite d’une main tourmentée, d’une plume trempée dans la sueur angoissée et le mauvais sang, les chansons d’At the drive in n’on pas attendu Relationship of Command, leur album de la consécration, pour faire chavirer les cœurs à coups de punk rock intelligent. Cette écriture est déjà largement palpable sur In/Casino/Out, où des fulgurances comme […]
Ecrite d’une main tourmentée, d’une plume trempée dans la sueur angoissée et le mauvais sang, les chansons d’At the drive in n’on pas attendu Relationship of Command, leur album de la consécration, pour faire chavirer les cœurs à coups de punk rock intelligent. Cette écriture est déjà largement palpable sur In/Casino/Out, où des fulgurances comme Napoleon solo ou For now we toast anticipent avec grâce la suite de leur aventure, cet équilibre miraculeux entre nonchalance et rigueur, brutalité et sophistication. Cet album ne bénéficiant pas du travail de la paire de producteur Andy Wallace et Ross Robinson, le son y est simplement plus brut. Sur Shaking hand incision, on entend d’ailleurs le groupe chanter ?Nothing ever changes/Except scenery arrangements’ ? Rien ne change jamais/Juste des détails de décor?.
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