Electro lente et chant de charmeurs de serpents : le duo lyonnais envoûte. Critique.
Sur son site hypnotiseur spectaculaire, le duo lyonnais endort en une paix sensuellement transmissible des chansons des Strokes ou de Phoenix. Il réserve le même traitement, suave, lent et sibyllin, à ses propres titres, tous de taille anglaise : léthargie vénéneuse de The xx ou euphorie contrariée façon London Grammar, ces chansons de peu répondent en écho puissant à ces musiques agitées sous leurs airs stagnants. Car les chants mixtes et fervents d’Elodie et Hadrien servent de brise-glace, ouvrant des voies vers le monde des rêves sur Wild Nights ou Of Water and Bones.
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