Derrière ce nom pas possible (?Des fleurs de la part de l’homme qui a buté votre cousin?) se cache un petit groupe français auteur de jolies chansons, réunies pour certaines sur Hapless, premier véritable album produit aux Waterhouse Studios, des studios parisiens dans lesquels ont déjà été conçus quelques projets aussi discrets que sympathiques (dont […]
Derrière ce nom pas possible (?Des fleurs de la part de l’homme qui a buté votre cousin?) se cache un petit groupe français auteur de jolies chansons, réunies pour certaines sur Hapless, premier véritable album produit aux Waterhouse Studios, des studios parisiens dans lesquels ont déjà été conçus quelques projets aussi discrets que sympathiques (dont la jolie compilation Folks Pop In at the Waterhouse).
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Hapless donc ? qui signifie malchanceux ? rassemble quatorze ballades qui veulent la nuit, somptueusement mélancoliques (Lay Down Your Arms), comme sur certains disques de Smog ou de Clem Snide. On y entend beaucoup de violons. On ne va pas mentir et dire que ça ressemble à un disque de Nick Drake ou de Leonard Cohen. On dira simplement la vérité : Hapless ressemble à un disque d’un amoureux, doué, de Nick Drake et Leonard Cohen. C’est déjà beaucoup.
{"type":"Banniere-Basse"}