Millimétrée et virevoltante.
Repérés par Gilles Peterson, cette paire d’Allemands se sont rencontrés sur les bancs de la fac de Düsseldorf. On imagine volontiers la section musicologie, tant leur musique semble millimétrée, érudite de Reich (Steve, hein), voire de Terry Riley. Mais très vite, des petits dérapages, des combinaisons facétieuses entraînent Naive Rider loin des musiques savantes, pour un dialogue virevoltant et gai entre machines et piano, qui enchante un premier album prévu à la fin du mois, sur un label justement baptisé Film.
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