Gonzales à l’Olympia, le 1er décembre, c’est la suite logique de l’élitiste et platiné Soft Power : après ses concerts dingos à l’Européen, le Pariso-Canadien nous offre une vidéo live exclusive. Deux minutes toutes folles pour comprendre le génie scénique du garçon.
[attachment id=298]On tremble encore pour la furie furieuse et pour la drôlerie décadente de la série de concerts de Gonzales à l’Européen en avril dernier -le Gonzoblog de l’artiste reste d’ailleurs accessible ici, et notre critique du concert se retrouve en cliquant là.
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On fourmille encore, dans tous les membres, de l’épatédifiant Soft Power, de ses tubes en platine et de ses chansons dingos, de ses mélodies superglues et de ses rebonds étoilés -l’interview vidéo de Gonzales s’expliquant sur la chose se retrouve là, et la chronique ici.
Gonzales avait défini Soft Power comme un disque d’élite. Le coup de force et la grande oeuvre du paria devenu indispensable, de l’underground voulant désormais profiter seul de la lumière qu’il avait, autrefois, offert à quelques grands noms.
Son concert dans le sacro-saint Olympia, le 1er décembre prochain, est une suite logique de l’aventure Soft Power, le pied-de-nez suivant du personnage, son accession au Panthéon des géants FM, bientôt en cire au Musée Grévin.
Il y jouera une première partie en piano solo, avant de passer aux choses sérieuses, avec une petite troupe d’invités de sa grande famille musicale.
Et, en attendant, il nous offre une belle vidéo live, un best-of de ses concerts à l’Européen -et on imagine déjà que cette folie et cette drôlerie n’étaient rien comparé à ce que Gonzales prépare sans doute pour l’Olympia.
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