Depuis longtemps, les vrais atouts des Rolling Stones se résument à la formidable photogénie d’un trio de trognes émaciées et à une idée inépuisable : celle d’une musique svelte, sardonique, et sexy. Mais cette idée juteuse, Jagger l’abâtardit depuis l’indigne Bridges to Bayon.Pour, piteusement passé à l’ennemi, pactiser aujourd’hui avec l’exécrable engeance FM – FM […]
Depuis longtemps, les vrais atouts des Rolling Stones se résument à la formidable photogénie d’un trio de trognes émaciées et à une idée inépuisable : celle d’une musique svelte, sardonique, et sexy. Mais cette idée juteuse, Jagger l’abâtardit depuis l’indigne Bridges to Bayon.
Pour, piteusement passé à l’ennemi, pactiser aujourd’hui avec l’exécrable engeance FM – FM pour fausse monnaie. Car, n’étaient le nom et la silhouette qui ornent la pochette, il ne viendrait à personne l’idée de s’appesantir sur Goddess in the Doorway. Touillée par de sinistres gâte-sauce, une dizaine de chansons aux claviers dégoulinants de béchamel ont oublié d’avoir une âme. Goddess in the Doorway consent toutefois pingrement à in fine accoucher de deux titres mettant respectivement en valeur la sauvagerie savante et le sentimentalisme sournois de l’artiste, offrant la seule raison valable de se farcir jusqu’au bout, les effets tape-à-l’oreille de ce très moche Mickmac.
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