Après avoir marqué les esprits fin 2018 avec “Robot”, le collectif belge GLAUQUE dévoile “Plane” et s’apprête à changer le cours de l’Histoire.
C’est l’histoire d’une bande de kids originaire de la ville de Namur, en Wallonie. Glauque. Comme une tache sombre dans l’air du temps façon test de Rorschach, ou les coups de semonce d’un calibre 9mm de catégorie B. Ce collectif parti faire la guerre à Dieu claquait dans la nuit noire de la fin d’année 2018 Robot, un premier titre en forme d’introduction à l’insurrection qui vient et dont les éclats incandescents semblaient rendre obsolète toute ligne de démarcation entre les genres et les époques. Toujours plus loin dans le rollercoaster émotionnel de la psyché de ces Baudelaire en survet, Plane, dévoilé aujourd’hui, vient porter la plume dans la plaie béante de nos illusions adolescentes et achève de nous convaincre que l’on tient ici l’un des joyaux les plus prometteurs de la francophonie.
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Grandeur et dépendance
Dans un trip narcotique qui en laisserait plus d’un sur le carreau, Glauque interroge ici l’ambivalence et la dualité, l’amour et la colère, la grandeur et la dépendance. Le choc est esthétique. Viscéral. En attendant quelque bonne nouvelle discographique, une tournée estivale quadrillant l’Hexagone vous donnera l’occasion de constater sur scène la puissance de déflagration du groupe.
Glauque en concert :
– Le 5 juillet au Fnac Live (Paris)
– Le 11 juillet au Festival Pete the Monkey (Saint-Aubin-sur-Mer 76)
– Le 24 août au Festival Cabaret Vert (Charleville-Mézières 08)
– Le 11 septembre au Crossroads Festival (Roubaix 59)
– Le 13 septembre au Hop Pop Hop festival (Orléans 45)
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