Avis aux libidineux : la jolie et dénudée fille de la pochette ne fait pas partie du groupe. Malibu Stacy, ce sont six jeunes Belges certes sexys mais barbus de trois jours, nerveux et surtout prêts à porter loin la bonne parole de la power-pop ? celle de leurs évidents héros Weezer, Rentals ou Fountains […]
Avis aux libidineux : la jolie et dénudée fille de la pochette ne fait pas partie du groupe. Malibu Stacy, ce sont six jeunes Belges certes sexys mais barbus de trois jours, nerveux et surtout prêts à porter loin la bonne parole de la power-pop ? celle de leurs évidents héros Weezer, Rentals ou Fountains Of Wayne.
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G, leur premier album, est une brillante collection de chansons qui deviendraient des hits dans un monde juste où les Cars et Jellyfish seraient l’étalon du bon goût. Car Malibu Stacy maîtrise avec brio l’art de la chanson urgente et dynamique, la technique du refrain percutant, la recette de la mélodie persuasive. Guitare incisive et bondissante, et Moog dingo, Malibu Stacy enchaîne les tubes ? Peniche Praia et sa rythmique martiale, le single LosAnGeles et ses wohohoh , Sh Sh qui va danser chez Pulp ou Feck This (1985).
Que souhaiter à ce groupe qui a en plus la chouette idée de tirer son nom des Simpson et de reprendre les Bangles ? D’avoir la chance de voir son deuxième album produit par Ric Ocasek, qui a su emmener Weezer vers la gloire mondiale.
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