Avec Chilly Gonzales, Glauque, Mitski, Pretenders et Woods.
Chilly Gonzales French Kiss (Gentle Threat/PIAS)
Sur un album franchement inspiré et entièrement interprété dans “la langue de Baudelaire et Bangalter”, le Canadien paie enfin son tribut à la France qui l’a tant acclamé depuis les années 2000.
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Par Franck Vergeade
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Glauque Les Gens passent le temps reste (Auguri Labels)
Les gens passent, le temps reste fait mieux que tenir ces promesses : cet album confirme que Glauque est grand et l’on se demande s’il peut être plus grand encore tant il est rare d’entendre sur disque une telle urgence à vivre cette vie semée d’embûches et de désillusions.
Par Alexis Hache
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Mitski The Land Is Inhospitable and So Are We (Dead Oceans/Modulor)
Avec son nouvel album, le septième de sa jeune carrière ultra-prolifique, Mitski se hisse toujours plus haut dans notre estime. De l’ouverture renversante (Bug like an Angel) à la conclusion presque shoegaze (I Love Me after You), son œuvre intense, enregistrée en grande partie à Nashville où Mitski a élu domicile depuis 2020, en fait l’égale de Weyes Blood, Angel Olsen et Sharon Van Etten.
Par Noémie Lecoq
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Pretenders Relentless (Parlophone/Warner)
Avec ce quatorzième album enregistré en collectif, Chrissie Hynde affirme son rang de championne rock toutes catégories. Sur ce dynamisant Relentless, produit par David Wrench (The XX, Courtney Barnett), le guitariste James Walbourne, fidèle au poste depuis 2008, participe à l’écriture de ces douze titres remarquablement ficelés en termes de rock’n’roll atemporel.
Par Sophie Rosemont
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Woods Perennial (Woodsist/Modulor)
Trois ans après le mystérieux Strange to Explain (2020), sorti en pleine pandémie et mis en boîte avant la disparition de David Berman, avec qui les compères avaient enregistré le presque posthume Purple Mountains (2019), Woods est de retour avec un disque plus mystérieux encore, fait de boucles obsessionnelles et de motifs mélodiques qui vont et viennent au gré des onze chansons de Perennial.
Par François Moreau
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