Instrumental et haletant, un album en forme de trip dans les tripes. Critique et écoute.
Projet solo de Fabrice Laureau, par ailleurs bassiste au sein du très aventureux groupe NLF3, F/LOR franchit aujourd’hui le cap du premier album, qui révèle un univers musical aussi foisonnant que percutant, au confluent de l’electronica la plus bigarrée et du postrock le plus déluré. De ce périple sonore évoquant une errance urbaine échevelée, Sweet Dirty Ballet, irrésistible petite comptine viciée, constitue le parfait climax.
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