Psychédélique et raffinée, la pop d’avenir de jeunes Californiens. Critique.
Après Ane Brun, James McMurtry ou encore The Goldberg Sisters, Fever The Ghost, la nouvelle trouvaille de François Moret (figure historique du label Pias America), fait déjà monter la fièvre dans les salles indépendantes de Los Angeles. Le groupe sort un premier ep remarquable, porté, emporté même par la voix de Zach Indrizzo.
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Outre les finitions savantes, surprenantes, qui s’aventurent sur des terres psychédéliques dignes de Primal Scream, on est aussi séduit par l’énergie et la beauté brute des quatre jeunes de Los Angeles (l’envoûtant Calico). Du titre phare Crab in Honey et ses paroles presque dada à We’ll Never Know the Place, méditation sereine sur les illusions perdues, Fever The Ghost sidère : jeunes et déjà si matures.
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