Dans la tête de ces Anglais, le monde n’est qu’une immense fête extatique et hallucinée. On les aime pour ça !
Etonnant comment un grand album de dance-music peut parfois sembler simple comme bonjour. 25 25, par exemple. Il suffit que Factory Floor, désormais en duo suite au départ du claviériste Dominic Butler, convoque un chant fiévreux et une ritournelle aussi entraînante que glaçante – comme ça, juste histoire de domestiquer la nervosité des beats – pour que s’enclenche sa mécanique, celle qui faisait déjà tout le sel de l’ep Fall back en 2013.
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Des rythmiques robotiques, des synthés euphoriques, des atmosphères hautement industrielles et, surtout, des influences qui hésitent entre la house de Chicago et la raideur glaciale de l’Haçienda. Bref, rien de révolutionnaire ou de franchement neuf sur le papier mais, à l’arrivée, une œuvre qui mène jusqu’à une forme d’absolue perfection le dérèglement des sens provoqué par la consommation d’ecstas sur un dance-floor.
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