Extrait de leur prochain disque, “Ooki Gekkou” à paraître le 15 octobre prochain, le single “Big Moonlight (Ooki Gekkou)” continue de creuser le sillon psychédélique initié par le deuxième album de la bande londonienne : “The Age Of Immunology”.
Au moment de la sortie de The Age Of Immunology de Vanishing Twin, en 2019, nous écrivions dans ces pages : “dans le sillage de Broadcast, Stereolab, Pram et The High Llamas, le groupe distille une forme de pop moderne à la fois vaporeuse et fugueuse, semblant venir d’une autre galaxie.”
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À l’écoute de Big Moonlight (Ooki Gekkou), premier single d’un disque à paraître le 15 octobre prochain, on ne peut que renouveler notre compliment à l’encontre de la bande londonienne emmenée par la chanteuse Cathy Lucas.
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Flux de conscience
Enregistré en plein confinement londonien, Ooki Gekkou, le troisième album de Vanishing Twin, a des allures de fuite en avant : “J’ai emménagé avec Phil (le guitariste et claviériste de la bande) au nord-est de Londres et nous avons commencé à louer un studio à côté, explique Cathy Lucas dans le communiqué de presse qui accompagne cette sortie, tout était très précis et concentré dans cette petite zone géographique. Avec peu de distractions, nous pouvions vraiment nous perdre dans ce que nous faisions, et essayer de répondre honnêtement et avec créativité à ce que nous vivions.”
De cette quête pour recouvrir le pouvoir évocateur de l’imagination et de l’expérimentation dans une période trouble, le morceau-titre Big Moonlight (Ooki Gekkou) est le premier à poindre le bout de son nez, et autant dire que ce morceau obsédant brille par ses saillies musicales aventureuses.
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