L’artiste parisien signe un projet habité, multi-teintes, au caractère brut.
Une fois qu’on s’est lancé dans le déroulé du CV d’Oko Ebombo, difficile de détourner les yeux de cet artiste parisien, à l’univers sans pareil. Il est performeur, vidéaste, danseur, poète, modèle, mais c’est pour une première manifestation musicale qu’il surgit aujourd’hui. Naked Life foisonne d’élégance et d’une poésie révoltée. Un Ep multi-teintes, du jazz de rue à la rumba congolaise en passant par le rap et le funk.
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Chaque morceau dévoile une nouvelle facette du musicien. Parmi ces trésors : Black Bowie, un hommage à la légende, qui aurait un jour dans les rues de New-York posé ses yeux sur Oko Ebombo en lui lançant : « What a shadow« . Il y aussi Niggality, une ballade engagée sur les inégalités, et le contemplatif Iro, point culminant de l’Ep.
Naked Life a été composé entre Portland, Paris, New York et Londres avec des musiciens réunis dans le collectif 19. Un projet initié en 2008 dans lequel on retrouve notamment les Français Daniel Malet (guitare) et Clement Loubens (basse/électronique) du groupe The Hop.
Un an plutôt, en 2007, Oko Ebombo laissait libre cours à ses instincts poétiques, de manière libre et expérimentale avec son projet Vizioneer.
Ep Naked Life
Sortie digitale le 23/9 (label Creative Pool)
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