Chanteur·ses, compositeur·rices et musicien·nes rendent hommage, via des souvenirs, images d’archives ou quelques mots, à la chanteuse, dont le décès a été annoncé hier soir par son fils Thomas Dutronc. Voici les premières réactions.
“Maman est partie…” C’est ainsi que Thomas Dutronc a annoncé hier dans la soirée le décès de sa mère, Françoise Hardy, interprète de Comment te dire adieu, à l’âge de 80 ans. Depuis ce post, la disparition de la chanteuse, compositrice et autrice est vécue comme un déchirement par les artistes qu’elle a croisé·es et/ou inspiré·es tout au long de sa vie. Adorée par le monde de la culture (de la musique à la mode, en passant par le cinéma et la photographie), Françoise Hardy laisse derrière elle une œuvre immense.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Parmi les messages les plus attendus, celui d’Étienne Daho, qui a notamment formé avec la chanteuse un duo sur le morceau Et si je m’en vais avant toi. L’artiste a partagé sur son compte Instagram une photo de la musicienne prise par le photographe Jean-Marie Périer.
Sur X et Instagram, d’autres artistes partagent des clichés ou des archives de Françoise Hardy. À l’instar de Tim Burgess, du groupe The Charlatans, faisant ses adieux à la chanteuse avec un extrait du clip vidéo restauré de Tous les garçons et les filles. Anton Newcombe du groupe de rock Brian Jonestown Massacre a également écrit “Repose en paix” en légende d’une photo de l’artiste.
Ému, Alex Kapranos du groupe Franz Ferdinand écrit sur son compte Instagram : “Comment dire adieu à une véritable icône ? Au revoir Françoise et merci pour la musique et votre gentillesse envers mes proches.” Michel Polnareff écrit quant à lui son “énorme tristesse” et salue une artiste qui l’a “beaucoup inspiré”. Le musicien Jean-Michel Jarre déclare sur X : “Françoise, L’élégance de tes chuchotements harmonieux résonnera pour toujours dans le cœur des garçons et des filles de tout âge.”
Invitée ce matin à l’antenne de France Inter, la musicienne Clara Luciani avoue, en sanglots, être “inconsolable” depuis la disparition de la chanteuse, son “ange gardien”, qu’elle a rencontrée plusieurs fois avant d’entretenir avec elle “une relation épistolaire, à la fois très désuète et très touchante”. “C’était pour moi une bonne fée depuis mes débuts”, confie-t-elle. Invitée à la même émission, Juliette Armanet garde en mémoire une artiste qui “a bercé [s]a vie”, une source d’inspiration perpétuelle, et une “voix blanche qui pouvait s’envoler dans les airs”.
Cet article sera mis à jour au fil de la journée.
{"type":"Banniere-Basse"}