Déjà croisé aux côtés de Marc Almond ou Barry Adamson, cet Islandais sculpte de courtes symphonies pour cordes et clochettes d’où se dégage un fort sentiment d’attente ? renforcé par le minimalisme des compositions et par la persistance d’un bruit de fond électronique que l’on devine être la rumeur de lointaines batailles. Ces subtils appels […]
Déjà croisé aux côtés de Marc Almond ou Barry Adamson, cet Islandais sculpte de courtes symphonies pour cordes et clochettes d’où se dégage un fort sentiment d’attente ? renforcé par le minimalisme des compositions et par la persistance d’un bruit de fond électronique que l’on devine être la rumeur de lointaines batailles. Ces subtils appels à la technologie ? voir aussi les voix irréelles façon Múm qui hantent littéralement certains titres ? donnent une aura futuriste à cet Englabörn, musique de chambre qui n’en est pas parce que les sons qui la composent ont le pouvoir de s’échapper des endroits clos.
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