Dix-neuf ans après sa création, un groupe anxieux à l’apogée de son art. Critique et écoute.
Pour son douzième album, le quatuor d’Athens (Géorgie) émerveille à nouveau avec sa lo-fi faite main, portée par la voix craintive et le songwriting soigné d’Andrew Rieger. Appartenant au collectif Elephant Six (Neutral Milk Hotel), le groupe américain est doué pour les mélodies aigres-douces, hantées de maximonstres.
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Elf Power passe ainsi en revue une jeunesse disparue trop vite (Lift the Shell) et la perte des illusions (Grotesquely Born Anew). Très courts, les treize morceaux se révèlent frustrants tant leur développement pourrait transfigurer cet album réussi en œuvre majeure.
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