Troisième album pour le Lillois qui continue son excentrique chemin free-pop. Critique et écoute.
Activiste multiforme au service depuis belle lurette d’un rock ouvert et indépendant (d’esprit, de commerce), le collectif Dylan Municipal sort son troisième album – et ce n’est pas celui de la maturité. “Je préfère les saucisses aux soucis”, clame ainsi cette free-pop entre Diabologum et diabolo grenadine, qui passe de la gravité à la gaudriole, de l’anxiété à l’excentricité sans le moindre respect des formes et usages, sans prévenir de ses chutes de tension ou d’ovnis. Qui volent ici en escadrille, en espadrilles.
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