Il faut croire que Drone trio néo-zélandais établi à Londres a mal supporté la dépressurisation à sa sortie d’avion, parce que sa musique classico-industrielle façon Rachel’s en a pris un coup. On se croirait catapulté au milieu d’un carnaval de Venise pour cyborgs avec un Michael Nyman en fer pour mener la danse. […]
Il faut croire que Drone trio néo-zélandais établi à Londres a mal supporté la dépressurisation à sa sortie d’avion, parce que sa musique classico-industrielle façon Rachel’s en a pris un coup. On se croirait catapulté au milieu d’un carnaval de Venise pour cyborgs avec un Michael Nyman en fer pour mener la danse. Avec ses instruments classiques samplés, ses minces filaments électroniques, ses basses énormes et ses rythmes volés à la techno, Drone organise là la rencontre entre Rondo Veneziano et les Brigades rouges. En jonglant avec la génétique musicale un peu n’importe comment, le groupe a réussi à donner qualité, cohérence et ambiance à ce qui, dans toutes autres mains, aurait été une bérézina.
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