Activiste de l’electro toute tristounette d’Amérique, DNTEL est grand. Critique et écoute.
Bientôt dix ans que le facteur n’est pas passé. Et à voir la façon dont Ben Gibbard (Death Cab For Cutie) et Jimmy Tamborello (DNTEL) ont commenté la fermeture de leur Postal Service, il y a fort à parier qu’il ne passera plus jamais. On peut toutefois compter sur le second pour nous adresser de jolis colis d’electro sentimentale et lo-fi, à l’image de cet air de synthé made in Popol Vuh, planqué dans un double fond (Paper Landscape) – l’un des moments de grâce d’un album qui provoque une douce hébétude : une habitude pour ce sorcier des sons et des sens.
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