Bordéliques et ambitieux, de jeunes Tourangeaux tournés vers l’excellence. Critique et écoute.
Depuis quelques mois, on suit particulièrement Divine Paiste, demifinalistes pour la région Nord-Ouest au concours Sosh aime les inRocKs lab grâce à leur passionnant Dust in the Wild. Mais, loin de se résumer à cet unique titre, Crystal Waves on a Frozen Lake est un premier album troublant, abordant le format pop sans réellement s’y plier.
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En douze morceaux (et autant de clips qui forment, au final, un court métrage fortement inspiré par l’univers halluciné de Max et les maximonstres ou celui de WU LYF), les quatre jeunes hommes dosent ainsi parfaitement la frénésie du rock et la poésie de la pop, et s’imposent comme de vagues cousins des Klaxons. Qu’importe d’ailleurs s’ils manquent parfois de personnalité : ici, les moments forts sont si nombreux qu’ils balaient les choix et les intentions plus téléphonés. Parmi les grandes émotions, on citera notamment BOREAL et Vandal : deux tubes, désinvoltes et limpides, comme promis à l’immense.
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