Il y a deux ans, ces Californiens s’appelaient encore Dios, lorsque le mécréant Ronnie James Dio, chanteur des lamentables Dio, les a traînés en justice pour usurpation d’identité. Devenus Dios(Malos), ils remettent le couvert avec un plaisir évident : cette pop ensoleillée, aux fortes réminiscences 60 s, ne tolérerait pas l’aigreur, de toute façon. Elle […]
Il y a deux ans, ces Californiens s’appelaient encore Dios, lorsque le mécréant Ronnie James Dio, chanteur des lamentables Dio, les a traînés en justice pour usurpation d’identité. Devenus Dios(Malos), ils remettent le couvert avec un plaisir évident : cette pop ensoleillée, aux fortes réminiscences 60 s, ne tolérerait pas l’aigreur, de toute façon.
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Elle préfère papoter avec les Beatles (Say Anything), prendre des drogues (So Do I), faire le bien autour d’elle (I Feel Fine All the Time), pour ensuite reprendre des drogues (Tokyo Sunrise). Programme chargé, donc, qui explique ces quelques baisses d’intensité, mais qui permet surtout au groupe d’enchaîner quelques belles perles pop.
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