Psychédélisme ravagé de desert punks.
Ce groupe américain a fait un rêve : le monde entier avait pris de la drogue. Même Jean-François Copé, même Keith Richards, c’est dire la puissance des peyotl de leur désert d’Arizona. D’ailleurs, à la façon de Tinariwen, ces garçons se décrivent comme des nomades – des “desert punks”. Et le monde sera un peu obligé de se droguer pour comprendre et accueillir à sa juste hauteur ce psychédélisme ravagé, raviné, qui seul au monde, parmi les cailloux, le sable et les crotales, lance la grande complainte monstrueuse du bruit noir et du lyrisme barbare.
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