Sombre et menaçante, de l’electro-pop venue de Nouvelle-Zélande. Critique.
Death And The Maiden… Même si la paternité de ce nom revient à une oeuvre de Munch, ou à une pièce de Schubert, nul doute que ces Néo-Zélandais l’ont plutôt emprunté à un vieux single des locaux Verlaines, chef-d’oeuvre de 25, hypertendu. Car tout ici – la mélancolie écrasante, le lyrisme renfrogné – renvoie à ce trésor caché. Tout, sauf les outils : loin des guitares en vertiges des Verlaines, de leurs avalanches de batteries, le groupe détourne l’electro-pop pour ses noirs desseins, ses humeurs troubles et sa danse macabre. Des slows, surtout : frappés d’effroi.
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