Par René Jacobs L’argent ne fait pas le bonheur De cette constatation, l’inconnu Keiser (et pourtant célèbre de son époque) tire une fable musicale d’une densité expressive inouïe. Ces trois disques se dégustent sans dégager le moindre ennui. Il fallait bien sûr une imagination musicale qui fait souvent défaut à l’opéra de cette époque (début […]
Par René Jacobs
L’argent ne fait pas le bonheur De cette constatation, l’inconnu Keiser (et pourtant célèbre de son époque) tire une fable musicale d’une densité expressive inouïe. Ces trois disques se dégustent sans dégager le moindre ennui. Il fallait bien sûr une imagination musicale qui fait souvent défaut à l’opéra de cette époque (début du XVIIIe siècle) mais aussi la conviction des interprètes. René Jacobs signe là l’une de ses plus belles réalisations, en retombée des représentations du Staatsoper de Berlin.
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