A Toulouse, où pousse le rock agité de Diabologum on en profitera pour leur décerner un premier prix d’écriture francophile quelques semaines avant l’album annoncé , on sait aussi cultiver la sophistication entretenue par Lloyd Cole ou Lilac Time. Irlandais, ce groupe sortirait ses disques sur Setanta, l’écurie des Catchers et de Divine Comedy […]
A Toulouse, où pousse le rock agité de Diabologum on en profitera pour leur décerner un premier prix d’écriture francophile quelques semaines avant l’album annoncé , on sait aussi cultiver la sophistication entretenue par Lloyd Cole ou Lilac Time. Irlandais, ce groupe sortirait ses disques sur Setanta, l’écurie des Catchers et de Divine Comedy pour s’en persuader, on écoutera prioritairement les splendides Too close to know et Burp song. Français, Smiling Marianne n’existe que quelques heures par mois, lorsque ces étudiants en fin de cycle se retrouvent autour de leurs chansons bourrées de malice et d’adresse. Hésitant entre l’anglais et le français, entre la pluie et le soleil, ces Comptines ont le bon goût d’échapper à leurs géniteurs, ce qui leur donne un air fier et indocile tranchant singulièrement avec la personnalité du groupe. Maintenant, on donnerait cher pour voir ces faux modestes s’embarquer dans une carrière aux prétentions revues à la hausse.
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