Stockholm = Hambourg Au début du groupe, Ian Brown est en contact avec un mystérieux mécène scandinave. Le groupe fait ainsi une sorte de pèlerinage initiatique en Suède, Stockholm devenant aux Stone Roses ce que Hambourg fut aux Beatles. Mani et ses pilules Lors de son premier concert avec les Roses, où il a succédé […]
Stockholm = Hambourg
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Au début du groupe, Ian Brown est en contact avec un mystérieux mécène scandinave. Le groupe fait ainsi une sorte de pèlerinage initiatique en Suède, Stockholm devenant aux Stone Roses ce que Hambourg fut aux Beatles.
Mani et ses pilules
Lors de son premier concert avec les Roses, où il a succédé en 1987 à Peter Garner, le bassiste Mani est si terrorisé qu’il tourne le dos au public. Quelques mois (et pilules) plus tard, il deviendra l’un des musiciens les plus extravertis du royaume.
De Joy Division à la Jamaïque
Après avoir travaillé avec Martin Hannett et Peter Hook de New Order, les Stone Roses abandonnent la piste Joy Division et songent à se tourner vers… la Jamaïque ! Fans de dub et de reggae, Ian Brown et Mani envisagent en effet de demander à Sly & Robbie de produire le premier album.
Un citron ?
Le citron, symbole choisi par le groupe, est un hommage aux étudiants de 68 qui utilisaient l’agrume pour atténuer les brûlures des gaz lacrymogènes. Ian Brown, qui a fait un séjour linguistique en France au début des années 80, fut initié aux situationnistes et à la révolte de Mai par un professeur. La chanson Bye Bye Badman parle de ça, le “Badman” en question étant peut-être Charles de Gaulle.
Woodstock en mode baggy
Un an après la sortie de l’album, en mai 1990, la folie Roses culmine lors d’un concert monstre à Spike Island où 27000 personnes en extase prétendent alors participer au “Woodstock de la génération baggy”. La suite de l’histoire personnelle des Stone Roses ressemblera plus volontiers à la tragédie d’Altamont
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