Christian Olivier a l’art de donner toute leur ampleur à des textes plus ou moins méconnus en les récitant. Son interprétation monumentale (le morceau fait 19 minutes) du texte de Stig Dagerman, “Notre besoin de consolation est impossible à rassasier”, en 2007, avec les Têtes raides, en témoigne. Dans son spectacle ‘Chut !’, il lit des […]
Christian Olivier a l’art de donner toute leur ampleur à des textes plus ou moins méconnus en les récitant. Son interprétation monumentale (le morceau fait 19 minutes) du texte de Stig Dagerman, « Notre besoin de consolation est impossible à rassasier », en 2007, avec les Têtes raides, en témoigne. Dans son spectacle ‘Chut !’, il lit des paroles de chansons. Pour l’émission « Rechutes » d’Arte Radio, il a livré des versions radio de Bashung, Ferré et Nino Ferrer, entre autres.
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Sa voix grave et sa diction précise, sur un fond sonore minimaliste, accentue encore la poésie des paroles de « La Nuit je mens » de Bashung. Ecoutez plutôt :
A la suite de Détroit, qui en a déjà fait une belle reprise, Christian Olivier s’empare d’Avec le temps, de Léo Ferré, dont les paroles fusent avec force de sa voix grave.
Le chanteur des Têtes raides a également livré sa version du Téléfon de Nino Ferrer, mais aussi de Marcia Baila des Rita Mitsouko, et d’autres chansons à découvrir sur le site d’Arte Radio.
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