Post-electro ? Pré-electro ?
Nouveau petit trésor
de ce singleton cinglé. Critique et écoute.
Le pseudo emprunte à ce personnage des Aventures d’Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll qui pose sans cesse des devinettes absurdes (“Pourquoi un corbeau ressemble à un bureau ?”).
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La musique de Louis Warynski, véritable nom de Chapelier Fou, pose elle aussi une énigme. Instrumentale, elle a pour base un mélange de vieux instruments et de programmations, et s’apparente autant à de l’ambient qu’à une installation electroacoustique.
Avec ce minialbum, suite d’un premier, 613, très abouti, Chapelier Fou vient butiner dans les mêmes floralies que Tortoise ou que le compositeur américain Ethan Rose, et même sur les plates-bandes de Nino Rota ou de Steve Reich. Une étape supplémentaire dans l’aventure de plus en plus passionnante d’un minimalisme artisanal sans équivalent, du moins en France.
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