New-wave tordue de plaisir.
Les hommes des cavernes, donc. Nom parfait pour ces New-Yorkais qui semblent effectivement avoir passé les trente dernières années dans une caverne, isolés du monde, Hibernatus de la new-wave. Tout ceci – ce son, ces gestes raides, ce phrasé maniéré – ne pourrait être que comique et cocasse son & lumière eighties (Modern English, Echo & The Bunnymen…), si le groupe se contentait de déguiser en noir des mannequins de musée Grévin. Mais heureusement, il y a cinq hommes et leur tension derrière ce résumé d’histoire, qui l’habitent et la tordent de l’intérieur. On n’a pas dit tordre, de rire, hein : tordre de plaisir.
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