Les doux murmures electro d’une grande dame de la pop d’ici. Critique.
La grande Catherine se réserve, en compagnie de Paul Levis, renommé pour ses musiques de théâtre, et en deux temps (un sept-titres digital, un single à venir), une pause récréative au mitan de la poésie d’Emily Dickinson. Mais il y a mieux encore que l’émerveillement ouaté de ces frissonnements électroniques, accouplés aux cordes frémissantes et à un chant de murmure : Watine promet d’ici quelques mois Atalaye (“le guetteur”, en basque), nouveau projet en français dans le texte. Et Satie ou Fauré veilleront toujours au (bon) grain des harmonies.
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Christian Larrède
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