C’est le feuilleton de l’année : Carl Barât dit oui, puis Carl Barât dit non, puis Carl Barât dit pourquoi pas à une éventuelle reformation des Libertines.
Ceux, nombreux, pensent sans doute à raison que deux barils de Babyshambles plus deux des Dirty Pretty Things ne vaudront jamais un seul gramme des grandioses Libertines attendent une éventuelle reformation du groupe le couteau entre les dents. Carl Barât, leader des Dirty Pretty Things dont le nouvel album vient d’ailleurs de sortir dans une discrétion totale et plutôt triste, s’amuse jour après jour à souffler le chaud, puis le froid, puis le tiède. L’aventure le tente un jour, puis il la repousse le lendemain -mais il ne refuse, au final, absolument aucune option. « Je suis ouvert pour faire quelque chose dans le futur, a-t-il ainsi très récemment expliqué à la BBC6. Nous avons encore du boulot à terminer. Mais il n’y a rien de concret à l’heure où nous parlons. »
Doherty bossant, de son côté, sur un album solo, la chose n’est effectivement pas prête d’arriver – à moins d’un total échec pour les deux en solo, meilleur moyen pour provoquer la réunion et la relance.
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