Cette Anglaise électrique joue à l’américaine
Venue de Birmingham entourée de garçons aux humeurs changeantes, Camila Kill n’est Anglaise que le temps d’une petite élégance pop ici ou là, vite balayée par une électricité belliqueuse. C’est définitivement dans une belle discothèque américaine – de Patti Smith aux Yeah Yeah Yeahs – qu’elle a appris le rock, les mauvaises manières glam et pas glop. Light at the End of the Tunnel ? Un lumière noire alors.
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