Le nom peut paraître déplacé quelques semaines seulement après les funérailles d’Eltsine, mais le nom de ces Américains était déjà un must de la blogosphère bien avant que le gros Boris ne casse sa pipe et la bouteille avec. Venus, comme les Simpson, d’un Springfield (dans le Missouri), ces orfèvres ont gardé pour leur patronyme […]
Le nom peut paraître déplacé quelques semaines seulement après les funérailles d’Eltsine, mais le nom de ces Américains était déjà un must de la blogosphère bien avant que le gros Boris ne casse sa pipe et la bouteille avec. Venus, comme les Simpson, d’un Springfield (dans le Missouri), ces orfèvres ont gardé pour leur patronyme tout leur potentiel de provocation et de non-conformisme. Car même l’excentricité, même le doux psychédélisme de ces Américains restent contamment dans le domaine du sage, du pointilleux, du précieux.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Mélodistes indiscutables, chanteurs entêtants, avec juste ce qu’il faut de fantaisie pour ne pas sombrer dans l’orthodoxie de béni oui-oui, ces quatre garçons dans le fervent sont ainsi de dignes colocataires des Shins ou des Apples In Stereo dans le club très select des songwriters US savant allier la raie de côté et le cheveu en pétard.
{"type":"Banniere-Basse"}