Production infernale, à la fois maximinimalisme pop
C’est bien anglais, ça. Dans son groupe précedent, Darryl Reid tentait à la Radiohed de déconstruire le rock en un ambitieux chaos. Résultat : pop-music. Il tente aujourd’hui de se laisser embarquer par une électronique libre et sinueuse, qui évoque les Français The Aikiu ou Breakbot. Résultat : pop-music. Difficile, donc, de lutter à ce point contre sa nature, contre son ADN : Boy Kid Cloud reste pop même dans un électro-funk à la Prince, pour lequel il confectionne une production infernale, à la fois minimaliste et maximaliste. Le maximinimalisme, quoi.
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