Le retour pétaradant et fêtard de la bombe sexuelle Jennifer Herrema.
Au temps (pourri, tendance tornades) de Royal Trux, Jennifer Herrema était la fille cachée (crashée ?) de Keith Richards et Brigitte Bardot, toute en lèvres chambres à air et miaulements de gouttière.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Vingt ans plus tard, la pin-up du chic junkie hisse le pavillon noir sur l’insubmersible banane du rock underground, colle un bandeau pirate sur l’oeil des Kills (Do It) puis trousse et détrousse quelques décennies de musiques plus salaces que cérébrales (Hot Stupid).
Soumis au régime shaker tout au long d’un album joueur et jouisseur, disco, hip-hop, psychédélisme, glam ramenard et electro crépitante s’y rentrent dedans, au sens le plus intime du terme.
{"type":"Banniere-Basse"}