Farniente en apesanteur.
On sort les chaises longues et comme l’ordonne ce lord de Manchester, on les pose sur la surface de Lune. C’est là, en apesanteur et au clair de Terre que s’apprécie au mieux cette musique surréaliste, qui revendique à hauteurs identiques les influences de Pharrell Williams et des Smiths.
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Déjà riche d’un passé bringuebalé du ska au hip- hop, de la pop au reggae, Bipolar Sunshine affirme et creuse un ton de plus en plus personnel, résolument anglais mais insaisissable, proche en ce sens d’un Damon Albarn qui compilerait en un seul personnage toutes ses facettes. Ce n’est pas bipolaire, mais largement multipolaire.
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