Album solo étonnant
du batteur des Killers. Critique et écoute.
Le problème des Killers n’a jamais été le songwriting mais le décorum, toujours surchargé, grandiloquent – leurs chansons plus humbles ou acoustiques révèlent même une écriture pop au pedigree indiscutable.
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En solo, leur batteur Ronnie Vannucci dégraisse ainsi les chansons de leur surcharge pondérale, en un rock imbibé de Moonshine et de campagnes profondes, de Creedence à Neil Young.
Big Talk, c’est un pick-up déglingué, rouillé mais fidèle, qui roule pépère et enfumé au milieu de la route – middle of the road, certes, mais joli panorama sur l’americana.
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