Un mini-album riche en suggestions et sensations : beau Bibio. Critique.
On connaît bien la pop rêveuse de cet Anglais et son patronyme en forme de petit insecte ailé, que l’on met au bout de son hameçon pour pêcher au bord d’une rivière tranquille. Quelques mois après un Silver Wilkinson très haut perché, Bibio revient avec sa folktronica évasive et un Green ep gracieusement bucolique et poétique. Claviers et arpèges se lient dans un décor sauvage, tressés autour d’harmonies nostalgiques, et créent de subtiles correspondances entre l’homme et le ciel.
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