Les raides Bordelais sont de retour : nouvelle formation et même un peu de moustache. Critique et écoute.
Alors que Primal célébrait la gloire de leurs ainés Joy Division, Affliction se révèle plus personnel et reprend quelques thèmes phare de la génération 90’s, geek et super connectée (Zelda, Gotham). Trahissant leur amour mathématique pour les synthés (Function), l’expérimentation héritée d’une passion précoce pour la no-wave new yorkaise laisse peu à peu place à une voix pop et suave digne d’un jeune Alex Turner.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Be Quiet brise ainsi la glace, quitte le nid de ses aînés (de My Bloody Valentine à The Cure) et mûrit sous les rayons de son époque, confirmant une créativité en crue. Ces jeunes chiens fous ne résistent pourtant pas à l’envie d’achever, à tous les sens du terme, ce second ep dans des crépitements sonores stroboscopiques et distorsions cacophoniques (Asylum).
Concerts le 15 mars à Nîmes, le 22 à Niort (festival Nouvelles Scènes)
{"type":"Banniere-Basse"}