An Pierlé revient au piano et dit qu’elle s’appelle mélancolie. Critique et écoute.
Strange Days est pour la musicienne belge An Pierlé l’album du retour à la sobriété. Sans son groupe de scène White Velvet, elle revient seule au piano, armée d’une douzaine de ballades mélancoliques, aux soyeux arrangements de cordes. L’album oscille ainsi entre instants trop secs (The House of Sleep) et parenthèses enchanteresses (Strange Days, Winds ou Solid Rain, qu’elle chante comme une funambule). Au coeur du disque trône une éclatante reprise de Such a Shame de Talk Talk, qu’An Pierlé chante comme si elle avait tout appris chez Kate Bush.
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Concerts : le 14 mars à Nantes, le 15 à Allonnes, le 21 à Bordeaux, le 22 à Limoges, le 24 à Vélizy, le 2 avril à Paris (Café de la Danse), le 3 à Alençon, le 4 à Canteleu, le 12 à Calais
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